dimanche 16 novembre 2014

XIAO CHE ZHU - chapitre 1



XIAO CHE ZHU


Il y a très longtemps, dans un coin reculé d’un lointain pays que l’on nommait Chine, vivait un vieil homme du nom de Lao Li.
Il habitait une maison de bois au toit de chaume à proximité d’une rivière.

Chaque matin, Loa Li partait, son vieux corps noueux courbé vers le sol, lourd du poids des années et des soucis.
Un chapeau conique en paille de riz couvrait sa tête et dissimulait son visage aux premiers rayons du soleil. Une maigre tresse blanche dépassait de celui-ci et suivait la courbe de son dos, sautillant légèrement à chaque pas du vieillard.
Ses pieds nus soulevaient un léger nuage de poussière.

Ses pauvres revenus lui venaient d’une petite rizière qu’il cultivait seul et qui, les bonnes années, lui donnait trois maigres récoltes dont il allait vendre les précieux grains au village voisin.

Sa rizière, entourée d’un monticule de terre était encore emplie d’eau, mais il devait sans cesse éviter que la terre s’assèche car les jeunes pousses devaient, pour grandir, sentir la chaleur du soleil sur leurs feuilles et avoir leurs racines continuellement immergées.

Irriguer son champ était une lourde tâche, indispensable. De même que de retirer les mauvaises herbes qui auraient vite envahi les jeunes pousses fraîchement repiquées.

Lao Li se sentait épuisé par les années de labeur, mais il devait continuer car la vie lui avait légué une charge à assumer.


Quelle est cette lourde charge que devait assumer ce vieil homme ?

Si vous désirez le savoir,  rendez-vous lundi prochain – 24 novembre 2014 – 
ainsi que  les lundis suivant, 
pour prendre connaissance des rebondissements 
du conte que je vous propose.

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